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J’ai commencé un bachelier en psychologie à l’Uliège en 2013. Ensuite, en 2016, j’ai entamé un Master de neuropsychologie ainsi qu’un Master de Criminologie. Le premier s’est terminé en 2018 et le second en 2019. Je suis ensuite entrée dans le monde professionnel en travaillant au CLIPS (centre de santé mentale) en tant que criminologue, pour le S.A.R.E.
Arpège dans le cadre d’une recherche, comme psychologue au sein de Centres PMS sur la thématique du décrochage scolaire (projet Cap Devant) puis en école et, évidemment, dans le service de Criminologie, en délinquance juvénile, pour la Prof. C. Mathys.
Faire partie du CRI’J est pour moi une belle opportunité en terme de collaboration, de variété des missions de recherche et, surtout, dans l’optique de « faire bouger les choses ». En effet, nous sommes amenés à collaborer tant avec nos collègues proches que des intervenants extérieurs.
Cela implique donc une grande diversité dans les approches, les points de vue, les centres d’intérêt, et l’expertise de chacun. Par contre, nous avons en commun cette motivation qui est d’amener, sur base d’arguments empiriques, une amélioration dans la prise en charge des jeunes en conflit avec la loi.
Mon atout majeur au sein du CRI’J est certainement la polyvalence. Concrètement, je participe à différentes recherches, à différents moments et pour différentes tâches.
Je peux donc être sollicitée tant pour la récolte des données que pour leur encodage et analyse ou la production de documents écrits. J’ai ainsi une vue d’ensemble sur les recherches qui sont menées au CRI’J, à laquelle s’ajoute mon expérience de terrain et ma formation scientifique qui me permet de traiter les données de manière systématique et rigoureuse.
