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Après avoir obtenu une licence puis un master en criminologie à Université d’Abidjan en Côte d’Ivoire, j’ai eu l’opportunité d’être sélectionnée pour le certificat universitaire de préparation au projet doctoral organisé par Université de Liège. Au cours de cette aventure, j’ai eu la possibilité de m’inscrire au doctorat au département de criminologie avec le soutien de l’équipe du CRI’J de l’ULiège.
Au sein de cette équipe dynamique, je travaille sur les liens entre les processus narratifs, les stratégies de régulation que développent les jeunes en conflit avec la loi et les représentations qu’ils peuvent avoir d’eux-mêmes ; projet qui deux ans plus tard m’a ouvert les portes de l’université de Montréal pour une cotutelle de doctorat avec l’ULiège.
Une occasion pour moi de mener à bien mes recherches sur les jeunes en conflit avec la loi dans une équipe dynamique et motivée pour la cause des jeunes placés en institution de réadaptation.
Aussi parce que faire partie du CRI’J me permet de poursuivre mes réflexions et travaux sur le processus de (pré)désistement au sein d’une population de jeunes en conflit avec la loi.
L’un de mes atouts est le fait que je sois en cotutelle entre Uliège et UdeM. Cette aventure me permet de bénéficier d’une expérience qui pourra servir d’échange de connaissances théoriques entre les membres de l’équipe.
Ainsi que mon travail au centre jeunesse de Montréal, qui pourrait lui également être un moyen d’échange de pratiques professionnelles en matière de prises en charge et intervention auprès des jeunes en conflit avec la loi.
Au-delà des atours qui précèdent, j’ai des qualités humaines qui faciliteront mes interactions avec les membres de l’équipe, entre autres ma flexibilité aux différents environnements de recherche côtoyés, tout comme ma grande persévérance et mon respect profond des autres. Bref, des qualités humaines pour valoriser les savoir-être dans cette équipe.
