Noémie Henrard

EN SAVOIR PLUS À PROPOS DE NOÉMIE

Quel est mon parcours ?

Après avoir obtenu mon diplôme de licenciée en psychologie clinique en 2005, j’ai travaillé de 2005 à 2020 au Centre Hospitalier Jean Titeca en tant que psychologue clinicienne au sein d’une unité ouverte mixte accueillant des personnes adultes souffrant de troubles psychiatriques sous statut ou non de défense sociale.

Mes missions principales étaient le suivi psychologique individuel des résidents, l’animation de groupes psycho-thérapeutiques ainsi que des activités psycho-diagnostiques.

En 2010, j’ai décidé d’enrichir ma pratique en suivant une formation de deux ans aux techniques d’hypnose éricksonienne, à l’accompagnement et à la thérapie stratégique à l’Institut Milton H. Erickson de Liège.

En 2012, j’ai eu l’opportunité de rejoindre le Groupe Antigone, attaché à l’époque à la Faculté de Psychologie de l’Université de Liège, sous la coordination de Serge Corneille.

C’est au sein du Groupe Antigone que j’ai pu développer davantage mes activités cliniques (individuelles, conjugales, familiales ou groupales) auprès, d’une part, de populations adultes et adolescentes judiciarisées et, d’autre part, auprès de populations adultes concernées par des accidents de travail et/ou par des plans de restructurations.

Par ailleurs, rejoindre le Groupe Antigone m’a également permis d’avoir l’opportunité de m’engager dans de nouvelles activités telles que des activités de recherche et de formation de professionnels au Good Lives Model (G.L.M.).

En 2021, nous avons quitté la Faculté de Psychologie afin de rejoindre le service du prof. Cécile Mathys au sein de la Faculté de Droit, Science Politique et Criminologie.

Pourquoi faire partie du CRI’J ?

Rejoindre le service de Cécile Mathys était comme une évidence au vu de nos intérêts communs pour le Good Lives Model et pour ses diverses adaptations dont notamment l’adaptation à une population adolescente.

C’est cet intérêt commun qui, en 2020, nous a amené à débuter notre collaboration à travers la formation de l’ensemble des équipes des Institutions Publiques de Protection de la Jeunesse (IPPJ) ainsi que l’ensemble des Equipes Mobiles d’Accompagnement (EMA) en Belgique francophone.

Quels sont vos atouts au sein du CRI’J selon vous ?

Selon moi, mes atouts majeurs se situent principalement dans mon expérience clinique diversifiée, mais également dans la maîtrise, en théorie comme en pratique, des concepts clefs, des principes généraux et des implications cliniques du Good Lives Model.